lundi 25 avril 2016

Sans laisser d’adresse - Harlan Coben

Dans un cycle de lecture, je ne peux passer longtemps à coté d'un livre de Harlan Coben, mon choix se porte sur : Sans laisser d'adresse (2009)

pour commencer, c'est un bon policier comme à l'ancienne, avec de l'action, des meurtres, des bagarres, de l'intensité, les voyages entre Paris, Londres, et les USA, le FBI, les terroristes ; la totale quoi!

Dans ce livre, Coben ne s'embarrasse pas de fioritures. Ecriture concise, précise, pas d'envolés lyriques inutiles, un style sur de lui et une surtout une maîtrise du suspens implacable !

Les personnages sont réels, attachants, vivants et leur définitions caractéristiques tout à fait logiques et crédibles.
Dans cette nouvelle aventure de Myron Bolitar, on retrouve ce dernier dans le rôle de chevalier servant qui lui sied tant, et qui vient en aide à une jeune femme qu'il n'a pas vu depuis plus de sept ans, on suit nos joyeux compères de New York à Paris en passant par Londres, avec les rebondissements d'usage et surtout la plume acérée de maître Coben !

Les sujets traités sont des sujets assez récents : luette contre le terrorisme, bases secrètes des USA, espionnage, manipulations génétiques. 

Le final est tout simplement hallucinant et peut nous renvoyer vers une vision d'horreur de notre passé mais aussi sur notre futur.


A la fin , je ne peux passer sans citer ce passage qui décrit Paris, cette ville dont je suis amoureux et que je cherchais les mots pour lui décrie mon amour, Coben, les a trouvé lui : 

"Paris est comme une belle femme qui se sait belle, qui aime ça et qui n'a pas à se forcer pour le prouver...
Paris vous donne envie de vous sentir vivant. D'agir, d'être et d'en savourer chaque instant. On veut ressentir, tout simplement, et peu importe quoi. Toutes les sensations sont magnifiées. Paris vous donne envie de rire, de pleurer, de tomber amoureux, d’écrire un poème, de faire l'amour et de composer une symphonie."

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